Un vent de colère et un souffle d’espoir sur Le Havre comme sur toute la Normandie !

Un vent de colère et un souffle d’espoir sur Le Havre comme sur toute la Normandie !

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La journée de campagne organisée en région havraise par Sébastien Jumel le 3 novembre dernier a une nouvelle fois permis d’appeler au rassemblement contre l’austérité et les politiques libérales qui rongent la société et dénaturent l’économie.

Entouré de Jean-Paul Lecoq, de Céline Brulin, de Nathalie Nail, de Christine Morel, de Baptiste Bauza et de nombreux élus et candidats locaux, le tête de liste du Front de Gauche en Normandie s’est rendu à la rencontre des salariés et dirigeants d’Aircelle, des dockers et des portuaires, des salariés de Girpi ou encore de Sidel. Il a visité et salué le savoir faire des salariés de l’ESAT de l’Estuaire et échangé avec les dirigeants de l’ESMGO football. Les représentants syndicaux d’Isoplast ont tenu pour le part à venir remercier l’engagement des élus communistes qui ont contribué au redémarrage de cette entreprise d’Harfleur menacée de disparition lors du meeting organisé le soir à Gonfreville l’Orcher pour achever cette journée.

Lors de ce meeting, Jean-Paul Lecoq a appelé à amplifier le seul rassemblement qui vaille :

« Se rassembler pour construire, se rassembler pour agir, pas seulement la main sur le cœur mais le poing levé avec dans chaque main de quoi anéantir le danger.

Pas un rassemblement de principe garantissant une sorte d’immunité à ses composantes au nom de cette impérieuse nécessité. Pas un rassemblement tactique, mécanique, arithmétique, visant à faire barrage, – les barrages sont des mirages, ils finissent tôt ou tard par céder, submergés par les eaux ou emportés par les torrents de boue.

Non, mais un rassemblement actif, interactif et réactif ! Un rassemblement autour de la confection d’un antidote garantissant le rejet durable de ces thèses et la promotion de celles qui lui sont mortellement inverses, celles du progrès.

Cet antidote c’est l’action politique, l’action collective et sa déclinaison opérationnelle : le programme.

Qu’il se nomme « populaire », « commun » ou « pluriel », ce programme porte les décisions politiques donc économiques et sociales, capables de redonner du sens, du crédit, de l’espoir et de l’efficacité à l’action politique, à l’action publique, à l’action collective… »

Télécharger l’intervention complète de Jean-Paul Lecoq : DISCOURS MEETING JPL DU 3 NOV II copie